Ouuuuups… ça fait six mois que je suis rentrée de mes deux semaines de voyage en Inde du Nord et je n’ai pas encore fait d’article. Ni sur le mariage indien auquel j’ai eu le bonheur d’assister, ni sur rien du tout. ^^ » Mais tout vient à point à qui sait attendre, mes chers Radis : aujourd’hui je vous raconte TOUT sur le mariage ! Qu’est-ce qu’on a fait ? Qu’est-ce qu’on a mangé ? Est-ce que ça piquait très beaucoup ? La famille de Dipankar était-elle gentille ? Et surtout, est-ce qu’il y avait du dessert ?? 😉

Deux semaines en Inde du Nord, dont quatre jours de mariage

Je suis partie avec Louise, ma sœurette, durant toute la première quinzaine d’octobre 2018. Le voyage s’est un peu organisé à l’arrache car nous avons pris notre décision de partir dans l’été, nous disant que nous ne pouvions pas rater le mariage de Dipankar. En effet, ce cher ami qui vivait à Grenoble depuis six ans rentrait définitivement au pays pour se marier avec la belle Plabita ! Comment rater une telle occasion ? Ma sœurette étant déraisonnablement fan de Bollywood, je me devais de l’emmener avec moi au mariage de Dipankar 😉

1ère semaine : chez Dipankar dans l’état d’Assam, à l’extrême nord-est de l’Inde

Nous avons donc passé une première semaine dans la famille de Dip avec quatre autres amis allemands. La ville natale de Dipankar est Guwahati, principale métropole de l’état d’Assam. Nous nous trouvions dans ce petit bout à l’extrême nord-est de l’Inde qui est enclavé entre Tibet, Bhoutan, Bangladesh et Myanmar. Autant vous dire qu’il y a de beaux paysages de jungle et de montagnes… Sans parler des très fameuses plantations de thé d’Assam, sur lesquelles je reviendrai dans un prochain article !

Cueillette du thé à l'aube, quand les bourgeons sont dans leur première fraîcheur. On est ici dans le parc national de Manas, au nord de l'Assam.
Cueillette du thé à l’aube, quand les bourgeons sont dans leur première fraîcheur. On est ici dans le parc national de Manas, au nord de l’Assam.

2ème semaine : en roue libre au Rajasthan !

Ensuite, nous avons repris l’avion pour rejoindre Delhi et nous avons passé 5-6 jours, juste toutes les deux, à parcourir le Rajasthan en train. Une sacrée aventure que je vous raconte dans un autre article… 😉 Au final, ces deux semaines se sont révélées exaltantes mais plutôt épuisantes ! D’une part le chaos et les sollicitations constantes dans la rue, de l’autre la chaleur tantôt humide en Assam, tantôt désertique au Rajasthan…

Mais surtout, c’est pas de la blague un mariage indien !! Rien de moins que quatre jours de festivités en tous genres 😉 Sans compter que Gudù, l’adorable frère de Dipankar, nous a reçus comme des rois et qu’il nous avait prévu un programme bien rempli… Entre autres : visite d’une plantation de thé bio, nuit et safari dans la jungle au parc national de Manas (à la frontière avec le Bhoutan), bateau sur le lac d’Umiam, shopping-mariage à l’heure de pointe et le tout avec beaucoup, beaucoup, beeeaucoup d’embouteillages.

La route en Inde... Tout un poème ;)
La route en Inde… Tout un poème 😉

Mais passons à l’objet de cet article, le magnifique mariage de Dipankar et Plabita, auquel nous avons eu le grand privilège de participer ! Petite précision : il s’agissait d’un mariage traditionnellement assamais, avec tous les rites propres à leur tribu.

Jour 1 : on se fait belles avec le « mehendi » !

La première étape des festivités consiste, surtout pour les femmes invitées au mariage, à procéder au rituel du mehendi. C’est un moment informel et convivial, où famille et amis se retrouvent respectivement dans la famille du ou de la mariée (selon le côté auquel ils appartiennent). On y sert du thé masala chaï, des friandises salées et sucrées, et surtout toutes les femmes sont invitées à se faire décorer les mains et avant-bras au henné : c’est le fameux mehendi.

C'est à cette occasion qu'on a fait connaissance avec la famille de Dipankar, et en particulier ses nombreuses cousines qu'il appelle "sisters" (la langue assamaise ne faisant pas de distinction entre cousins et fratrie). J'ai eu un coup de foudre avec la belle Flora !
C’est à cette occasion qu’on a fait connaissance avec la famille de Dipankar, et en particulier ses nombreuses cousines qu’il appelle « sisters » (la langue assamaise ne faisant pas de distinction entre cousins et fratrie). J’ai eu un coup de foudre pour la belle Flora !
Louise et moi y sommes passées aussi, bien-sûr !! Le mehendi a été un de mes moments préférés du mariage.
Louise et moi y sommes passées aussi, bien-sûr !! Le mehendi a été un de mes moments préférés du mariage.
Entre autres, on a mangé de délicieux laddu, des gâteaux en boule imbibés de beurre et de sirop de sucre. Pour alléger le tout, ils sont servis avec un peu de crème entière... J'avoue, J'ADORE.
Entre autres, on a mangé de délicieux laddu, des gâteaux en boule imbibés de beurre et de sirop de sucre. Pour alléger le tout, ils sont servis avec un peu de crème entière… J’avoue, J’ADORE.
Pas facile de se régaler avec les laddu quand on doit laisser sécher le henné plusieurs heures ;)
Pas facile de se régaler avec les laddu quand on doit laisser sécher le henné plusieurs heures 😉

Jour 2 : cadeaux aux mariés par 40°C

Le 2ème jour, les choses sérieuses commencent : tour à tour, chaque famille se rend à la maison de l’autre afin d’offrir les cadeaux rituels. Pour cette occasion où il faut faire bonne impression, tout le monde se met sur son trente-et-un ! Pour les femmes assamaises, cela signifie qu’elles sortent leurs sublimes saris traditionnels en soie de la région.

Les nombreuses tantes de Dipankar, qui étaient d'ailleurs super gentilles avec nous, avaient chaque jour un sari en soie différent. Ceux de cette tante-là étaient tous plus sublimes les uns que les autres !!!
Les nombreuses tantes de Dipankar, qui étaient d’ailleurs super gentilles avec nous, avaient chaque jour un sari en soie différent. Ceux de cette tante-là étaient tous plus sublimes les uns que les autres !!!

Les futurs mariés, qui ne doivent en aucun cas s’apercevoir dans les jours précédant le mariage religieux, reçoivent chez eux la future belle-famille mais ne se rendent pas eux-mêmes dans l’autre maison. Ils laissent donc leur famille partir sans eux et restent seuls. D’après Dipankar, c’était un soulagement car tout le ramdam autour du mariage est épuisant, et il était bien content de traîner quelques heures en pyjama… 😉

C'est ainsi que nous avons découvert la belle fiancée Plabita. Toutes les femmes de la famille de Dipankar s'affairaient autour d'elle pour la couvrir des cadeaux de mariage rituels, censés lui permettre de se préparer pour la cérémonie : innombrables bijoux en or typiques de l'Assam, saris en soie assamaise de toutes les couleurs et même maquillage et lotions.
C’est ainsi que nous avons découvert la belle fiancée Plabita. Toutes les femmes de la famille de Dipankar s’affairaient autour d’elle pour la couvrir des cadeaux de mariage rituels, censés lui permettre de se préparer pour la cérémonie : innombrables bijoux en or typiques de l’Assam, saris en soie assamaise de toutes les couleurs et même maquillage et lotions.

Jour 3 : rites religieux autour du feu

Le troisième jour est le « véritable » jour du mariage. C’est là qu’on procède aux rites religieux qui se terminent seulement à une heure avancée de la nuit. A leur terme, Dipankar et Plabita étaient officiellement mariés !

Dès le matin, nous avons entamé de nombreux rites préparatoires à la maison de Dipankar. D’abord, il devait manger une nourriture spéciale en vue de se purifier. Puis il a été lavé, huilé, habillé de blanc éclatant et béni par toutes les femmes de la famille (y compris nous !). Pour cela, nous avons notamment appliqué sur son visage de la pâte de gingembre et de curcuma.

Je ne comprenais pas le sens de tout : il y avait de l’eau bénite, des fleurs, des bougies, de l’encens, des feuilles et noix de bétel… Ce qui m’a profondément touchée dans ces rituels, c’était la bienveillance qui régnait : chacune venait bénir Dip et lui dire quelques mots tendres. Toutes ces cousines et ces taties qui papillonnaient autour de lui, c’était d’autant plus touchant que nous savions qu’il avait perdu sa maman…

Le premier rituel de la journée incombait aux femmes : nous nous sommes rendues en procession à un temple spécial, munies de vases spéciaux. En tant qu'invitées d'honneur, nous étions entièrement partie prenante :)
Le premier rituel de la journée incombait aux femmes : nous nous sommes rendues en procession à un temple hindou, munies de vases spéciaux. En tant qu’invitées d’honneur, nous autres Européennes étions entièrement partie prenante 🙂
Ce temple était particulier car une rivière sacrée coulait en son milieu : cela allait nous permettre de récolter l'eau bénite nécessaire à tous les rituels religieux de la journée. En poussant des youyous, chacune a donc rincé trois fois le vase dans la rivière avant de le remplir et de le faire bénit par un prêtre.
Ce temple était particulier car une rivière sacrée coulait en son milieu : cela allait nous permettre de récolter l’eau bénite nécessaire à tous les rituels religieux de la journée. En poussant des youyous, chacune a donc rincé trois fois le vase dans la rivière avant de le remplir et de le faire bénir par un prêtre.
Tout au long de la journée, nous avons également utilisé des feuilles de bétel et noix d'arec. Offrandes traditionnelles, elles étaient omniprésentes dans les différents rituels.
Tout au long de la journée, nous avons également utilisé des feuilles de bétel et noix d’arec. Offrandes traditionnelles, elles étaient omniprésentes dans les différents rituels. Nous avons aussi vu les tontons et tatas en mâcher des morceaux, pour leurs propriétés stimulantes et légèrement narcotiques…
En revenant du temple, Dipankar nous attendait sur le seuil de la maison pour se faire bénir et asperger par toutes les femmes. Difficile de ne pas rigoler ;)
Quand nous sommes revenues du temple, Dipankar nous attendait sur le seuil de la maison pour se faire bénir et asperger par toutes les femmes. Difficile de ne pas rigoler 😉
Voici à gauche le papa de Dipankar (très gentil d'ailleurs, une vraie crème comme ses deux fils !) et à droite le prêtre. Ils sont occupés à demander la bénédiction des ancêtres de Dipankar pour ce mariage.
Voici à gauche le papa de Dipankar (très gentil d’ailleurs, une vraie crème comme ses deux fils !) et à droite le prêtre. Ils sont occupés à demander la bénédiction des ancêtres de Dipankar pour ce mariage.
Le soir venu, nous rejoignons le grand chapiteau où avait eu lieu l'échange de cadeaux avec la mariée. La déco était magnifique.
Le soir venu, nous avons rejoint le grand chapiteau où avait eu lieu l’échange de cadeaux avec la mariée. La déco était magnifique.
Tout le monde s'était fait très beau, bien-sûr. Flora portait un sari traditionnel pour la première fois et avait même mis des fleurs fraîches dans ses cheveux ! C'est une grande coquette ;)
Tout le monde s’était fait très beau, bien-sûr. La cousine Flora portait un sari traditionnel pour la première fois et avait même mis des fleurs fraîches dans ses cheveux ! C’est une grande coquette 😉
Les mariés, leurs témoins, leurs parents et le prêtre se sont réunis autour du feu sacré pour entamer une longue cérémonie extrêmement codifiée. Pendant au moins deux heures, ils enchaînaient les gestes et rituels symboliques, suivant les instructions précises du prêtre.
Les mariés, leurs témoins, leurs parents et le prêtre se sont réunis autour du feu sacré pour entamer une longue cérémonie extrêmement codifiée. Tout ça sous l’objectif des nombreux photographes… 😉
Pendant au moins deux heures, ils ont enchaîné les gestes symboliques du mariage, suivant les instructions précises du prêtre.
Pendant au moins deux heures, ils ont enchaîné les gestes symboliques du mariage, suivant les instructions précises du prêtre.
Les mariés étaient coiffés des couronnes traditionnelles. Plabita avait adopté la posture typique de la mariée humble, qui doit garder les yeux baissés pendant toute la cérémonie...
Les mariés étaient coiffés des couronnes traditionnelles. Plabita avait adopté la posture typique de la mariée humble, qui doit garder les yeux baissés pendant toute la cérémonie…

Jour 4 : on fait péter le sari pour la séance photos géante !

Le 4ème jour n’est autre qu’un marathon-photo pour les pauvres mariés essorés… ^^’ Tous les rites religieux ont été effectués en présence de la famille et des amis proches, mais à présent il faut accueillir la famille élargie, les gens du village d’origine des parents de Dip, etc. Pour ce faire, les mariés ont réservé un grand chapiteau pour toute la journée, où un buffet est servi presque en continu, et reçoivent leurs centaines d’invités en deux vagues. C’est comme pour aller récupérer un visa : on est soit inscrit pour le matin, soit pour l’après-midi 😉

L’objectif ? Les deux mariés sont assis, tout pimpants dans leurs habits de lumière, sur un canapé kitschissime au sommet d’une estrade. Chacun à son tour vient les féliciter, leur offrir un cadeau et SURTOUT poser avec eux pour la photo ! J’ai vraiment admiré le courage et l’endurance de Dipankar et Plabita, que je savais lessivés et qui souriaient quand même de toutes leurs dents.

Plabita sur le fameux canapé, en train de poser avec sa meilleure amie.
Plabita sur le fameux canapé, en train de poser avec sa meilleure amie.

Comme c’est une séance photo géante, ce 4ème jour est en fait celui où on se fait le plus élégant possible. Il y a donc une sorte de crescendo qui s’opère sur les quatre jours de mariage, culminant, en ce qui concernait ma sœurette et moi, par le port d’un sari sur-mesure !

sari bleu et sari rouge
Je trouve que ça donne à Louise un petit air de Madame Agecanonix 😉

Et du coup, qu’est-ce qu’on mange à un mariage indien ?

Eh bien, de la cuisine indienne, pardi ! 😉 Bien-sûr, c’est toujours dépaysant de se retrouver face à un grand buffet où s’alignent des plats au nom inconnu. Mais je dois avouer que je n’ai pas forcément été déstabilisée par les saveurs des plats du mariage. En fait, pour peu qu’on ait mangé quelques fois dans un bon resto indien en France, on a quand même une assez bonne idée de ce qui nous attend.

En effet, on connaît déjà beaucoup de saveurs d’Inde du Nord : riz blanc, currys en tous genres (les mélanges d’épices sont variables), chapatis (petits pains plats et ronds), piment en-veux-tu-en-voilà, dahl (soupe de légumineuses), desserts bien sucrés et bien beurrés… Ce qui m’a finalement le plus surprise, c’étaient les nombreux légumes que je n’avais jamais goûtés, ainsi que les plats de poisson typiques de l’Assam. Et également quelques plats importés du sud de l’Inde, considérés comme exotiques même par la famille de Dip ! ^^

Légumes fort dépaysants aperçus chez des vendeurs de rue !
Légumes fort dépaysants aperçus chez des vendeurs de rue !

De grands buffets préparés en plein air

Les repas n’ont absolument pas la même place que chez nous dans les mariages ! On oublie les banquets interminables, les longues tablées, les plans de table et les pièces montées. Alors que tant de choses inattendues sont précisément ritualisées, comme par exemple l’habillage des mariés, les repas sont totalement informels. La nourriture est servie dans une grande pièce à part, sous forme de buffet, et chacun va se servir quand il en a envie. On ne voit même pas les mariés manger !

Il y avait très peu de tables. La plupart des invités mangeaient debout, ou en cinq minutes chrono sur un coin de table. En résumé, le moment du repas ne revêt absolument pas l’importance qu’il a en France… Comme c’est dépaysant de voir des gens qui ne sont pas obsédés par la bouffe 😉

Tout était cuisiné dehors, dans une cuisine provisoire...
Tout était cuisiné dehors, dans une cuisine provisoire…
... à même le sol ;)
… à même le sol 😉
Pour faire la vaisselle, c'était pas de la rigolade !
Pour faire la vaisselle, c’était pas de la rigolade !
Il y avait du poisson de rivière frit, un plat traditionnel de l'Assam, indispensable au banquet de mariage
Il y avait du poisson de rivière frit, un plat traditionnel de l’Assam, indispensable au banquet de mariage
Après s'être servis au buffet, les invités restaient à peine cinq minutes à table !
Après s’être servis au buffet, les invités restaient à peine cinq minutes à table !
Il y avait beaucoup de choix et de quoi se faire de belles assiettes (ou "thalis") ! Chutney, currys de viande ou végétariens, légumes crus, riz parfumé...
Il y avait beaucoup de choix et de quoi se faire de belles assiettes (ou « thalis ») ! Chutney, currys de viande ou végétariens, légumes crus, riz parfumé…

Des snacks et des boissons à toute heure !

Du masala chaï (littéralement : « thé aux épices ») était presque toujours à disposition. Comme le café, il était servi avec beaucoup de lait, beaucoup de sucre, et notamment en apéro !!! C’était très étrange de boire aussi sucré juste avant de manger. D’autant plus que les snacks servis avec étaient aussi bien sucrés que salés : les beignets pakora très très piquants côtoyaient les jelabi dégoulinants de miel… 😉

En hindi, chaï veut dire « thé ». Le mot vient du chinois cha (茶), que l’on retrouve également dans de nombreuses autres langues, dont le japonais !

Les épices du fameux masala chaï varient mais on retrouve généralement du gingembre, de la cardamome, de la cannelle, du poivre, du clou de girofle…

Et hop, les petits pakoras traîtres qui arrachent bien du piment !!
Et hop, les petits pakora traîtres qui arrachent bien du piment !!
Thé "masala chaï" mousseux : bien épicé, bien laiteux, bien sucré !
Thé masala chaï mousseux : bien épicé, bien laiteux, bien sucré !
Les jelabi sont les cousins des zlabia du Maghreb : quel bonheur de les retrouver en Inde, car c'est mon régal ;) ces petites pâtisseries frites craquent sous la dent et dégoulinent de miel. A la différence de ceux que je connaissais, ils étaient beaucoup plus petits et parfumés à la cardamome...
Les jelabi sont les cousins des zlabia du Maghreb : quel bonheur de les retrouver en Inde, car c’est mon régal <3 Ces petites pâtisseries frites craquent sous la dent et dégoulinent de miel. A la différence de ceux que je connaissais, ils étaient beaucoup plus petits et parfumés à la cardamome…

Pour conclure ce très long article (ohmondieu j’ai cru que je ne le finirais jamais xD), je dirai tout simplement que je vous ai à peine décrit 10 % de ce que j’aurais voulu vous raconter sur ce mariage. Tout était tellement nouveau, tellement surprenant, tellement émouvant… N’hésitez pas à poser des questions, si ça vous chante 😉 La bise à vous, les Spicy Radis !

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Cet article a 4 commentaires

  1. Hildegard

    Superbe article qui me donne envie de sauter dans un avion et de retourner me promener dans ce pays envoûtant. C est drôle , je venais de finir un plat cuisiné avec les épices que vous m’avez rapportées: J ai lu l article avec les parfums et le piquant en bouche de la cuisine que tu décris . Je les utilise quasiment tous les jours, mon mélange préfèré en ce moment : le garlic masala.
    Merci de partager encore votre beau voyage.les photos des saris et de la plantation de thé sont superbes. Bisous

    1. Marion

      ça alors c’est trop rigolo, pendant que j’écrivais l’article j’étais moi-même baignée des mêmes parfums car je me suis fait un dahl de pois cassés au garlic masala 😉
      Gros bisous !

  2. Mme Agecanonix

    Ah j’ai envie d’un massala chaï maintenant.
    Il y avait aussi ces petits snacks à la noix de coco trop bons *_*

    1. Marion

      Ah oui !!! J’en toucherai deux mots quand je parlerai de la plantation de thé, car ceux qu’on a mangés là-bas étaient torréfiés et encore meilleurs 😉

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